A chaque prise de parole du Premier ministre, ils espèrent qu’une date de déconfinement ou que des aides soient prononcées, mais rien. Jérôme Casas, Matthieu Garny et Mustapha Alami savent bien qu’ouvrir avec les contraintes de masques et de gants n’est pas possible dans leur type d’établissement. Ouvrir les clubs et les boites de nuit pour 100 personnes maximum ce ne serait pas rentable non plus » analyse Mustapha Alami mais « on aimerait des aides en attendant de pouvoir rouvrir. Des charges qui s’élèvent parfois à 42 000 par mois.
«Nos charges c’est-à-dire les salaires, la SACEM, les charges fixes… En attendant que le Gouvernement pense à eux, le SNDLL va continuer à faire pression et défendre coûte que coûte leurs propositions pour qu’une date de réouverture des clubs et des boites de nuit puisse être trouvée et que des aides spécifiques soient apportées.
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