En mars dernier, des mesures de santé publique restrictives ont été mises en place pour éviter une aggravation de la pandémie. De nombreuses compagnies aériennes ont également été contraintes de réduire ses vols de 60% à 95%. Toutes ces mesures ont amené à une baisse drastique des émissions de dioxyde d’azote, une diminution des particules fines ou encore de l’exploitation des ressources. “C’était une lueur d’espoir et effectivement les différentes émissions ont repris de plus belle alors que pendant la première vague du Covid-19, il y a eu une réduction du C02 lié au transport qui a plongé de 40%”, explique Emmanuel Mossay, Expert en économie circulaire ECORES. Pour arriver à respecter les accords de Paris, il faut que la réduction d’émission soit voulue et déterminée à travers un plan d’action concret”.Grâce à ce premier confinement, les spécialistes de l’écologie se sont rendu compte de l’impact qu’avaient les industries, le transport routier et les activités des humains sur la crise écologique mais surtout qu’il y avait une possibilité de réduire les différentes émissions.”Suite à la fermeture des frontières, de plus en plus de personnes ont décidé de consommer localement, de repenser leur façon de vivre et repensent à l’essentiel.
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